Un film, une réalité

Ce matin, fanny est venue me prendre à la maison pour aller voir « Danse avec lui » de Valérie Guignabodet, avec Mathilde Seigner, Sami Frey et Jean-François Pignon (alors lui je connaissais de nom, mais il est réellement impressionnant !).

Trois phrases « remarques» à méditer et que nous retenons facilement :   –          –  Que donnons-nous, si nous ne donnons pas notre temps ?

–  On ne renonce jamais aux chevaux, vous savez pourquoi ?(l’homme a construit des voitures des avions… et monte toujours à cheval…)

–  Ce n’est pas le but, qui compte mais le chemin emprunté pour y arriver !  

C’est un film sans violence, très psychologique, avec des images de plaines magnifiques et sans oublier, surtout pas, deux magnifiques chevaux !! On nous montre même la préparation du cheval, cette jeune fille qui s’occupe de panser, soigner et même balader le cheval d’une propriétaire, qui, elle, n’est là que pour monter et gagner ! D’ailleurs c’est aussi ça qu’il montre : le contact avec le cheval, l’intérêt et même le devoir d’établir ce contact !

Je trouve que les cavaliers (jeunes et moins jeunes) qui ont tant l’habitude des concours ou des cours classiques, devraient aller voir ce film pour apprendre à connaître son cheval et non plus ne pensez qu’à son propre plaisir ! Sans être éthologique, ce film en a un point commun primordial : apprendre à respecter l’animal tout en gagnant son respect, et tout sentir de lui pour ne faire qu’un et qu’il puisse prendre plaisir à faire ce que vous lui demandez !  

Cet après midi en allant aider Amandine au haras, je suis arrivée avec des idées renforcées et je trouve encore un peu changée !

J’ai commencé par prendre Ténébra, je lui ai fais faire quelques exercices simples d’éthologie, puis un peu de liberté avec le passage de barres comme hier.

Hier au cours d’Amandine (Christine est en vacances), nous avons fais des exercices avec trois barres mises au sol parallèlement. Peu écartées au départ et en trois fois plus écartées, Amandine nous apprend à nous tenir mais aussi à sentir l’amplitude et non pas la vitesse ou passer ses barres ! Puis de larges, nous sommes repassés à l’étroit du départ mais en 1 fois. Là encore Ténébra a montré qu’elle aimait y aller ! Et elle m’a vraiment encore agréablement surprise !

Puis juste avant de la ramener, je marche dans le manège, elle me suit (alors au trot ça non!). Puis, pour voir, je me face à elle et lui demande de bouger les postérieurs, comme ça, elle n’est pas en longe, je n’ai rien dans les mains ! Elle le fait parfaitement de suite !  

Après Ténébra, je sors Iroquois en liberté ! Bien sur si j’en parle ….

Surtout avec le vent qu’il y avait ! Il panique ce cheval !

Déjà avant de refermer la porte du manège j’ai du le rassurer, de même avant de lui ôter la longe, pas question qu’il parte en furie !

Après un peu de défoulage, en raccourcissant ces cercles autour de moi à chaque rafale de vent un peu forte, je note donc les deux endroits ou il refuse d’aller ! Pour un je l’y amène lors des cercles, pour le deuxième, le bruit est plus fort et en plus on sent le vent, je procède autrement !

Je l’appelle vers le centre du manège, le caresse et sans me retourner j’avance vers cet endroit « fatidique ». Il me suit mais pas jusqu’au bout ! Je me retourne et m’appuis contre le par bot et j’attends. Lentement il avance de nouveau, en tressaillant à la moindre rafale ! Je tends la main et lui parle, il avance à me toucher la main (tête tendue pour ne pas faire venir tout le corps, faut pas pousser non plus ^^ !).

Et là grande rafale et bruit de la plaque de fer ! Ni une ni deux, il saute sur place se retourne et part mais pas si loin ! A-t-il vu que je n’avais pas bougé ? Il me regarde et revient ! Et ça je suis sur que pour lui c’est un effort !!

Du coup je n’ai pas attendu un autre coup, je l’ai ramené son nez posé sur ma main jusque la porte pour rentrer !  

Un moment dans le film elle dit au « maître » : « vous savez donner aux chevaux mais vous ne savez pas donner aux hommes ! » Pas jusqu’à être comme lui (je ne vis pas seule), mais à cet instant avec Iroquois je me suis dis mais comment puis je apporter tant de calme, assurance aux chevaux et pas autour de (et surtout pour) moi ? La prochaine fois que le psy me demande : »Quand est ce que vous vous posez et restez calme? », je saurais quoi lui répondre !

J’ai tant encore à apprendre d’eux et avec eux ! Et comme j’ai envie d’approfondir ces relations pour ne plus avoir que l’impression de sensations mais que ce soit réel !  

Et pour terminer retour à une autre réalité…. Sortir les shets puis Nikita, Elzeir et Prince, en liberté …

De la théorie à la pratique

Juste dans le box ou sur le chemin j’ai commencé les démarches « éthologie », ne pas se faire marcher sur les pieds ou se laisser dépasser, qu’elle ne sorte pas avant moi ou en même temps du box ou manège…

C’est impressionnant car il ya pleins de choses qu’elle sait ! Je lui avais donné l’habitude de reculer avec deux doigts sur le poitrail, il faut que je lui réapprenne avec les doigts sur le chanfrein.

Le reculer au mousqueton c’est pratiquement acquis, avec la flexion. Les flexions alors là je ne tiens pratiquement rien, par contre avec la main sur le côté du nez, c’est plus difficile, elle bouge un peu la tête, mais vient quand même. Baisser la tête, tout ce qui est désensibilisation au touché (sans bruit) est acquis, main, stick, ballon… Claquage du stick à ses côtés, à retravailler mais elle ne bouge plus, si le bruit n’est pas trop fort.

N’ayant pas de foulard, je trouve dans le carton de jeux Poney-Games, les rubans rouges et blancs. Louis-Marie m’aide à essayer d’en démêler un morceau et Ténébra que j’ai en longe, s’approche lentement avec ce bruit caractéristique de l’inquiétude. Elle vient poser son nez dessus et me regarde. Nous retournons vers le milieu du manège et lentement je commence à passer ce ruban partout sur elle du côté gauche, elle bouge bien sur, mais pas longtemps. Je refais plusieurs fois sans qu’elle bouge avant de commencer à le remuer, loin d’elle comme avec le stick au départ, puis me rapprochant. En arrivant vers l’encolure et près des yeux, elle bouge encore un peu plusieurs fois. Entre temps je repasse doucement le ruban sur toutes les parties de son corps, là elle ne tressaille même plus. Puis de même l’autre côté, le touché ça va mais le mouvement la fait plus bouger du côté gauche.

Comme appris ce week, commencé doucement et si en augmentant elle se met à bouger, redescendre mais pas s’arrêter.

Donc le bruit l’inquiète plus que le touché ou le simple mouvement. Mais contrairement à d’autres, lors d’un bruit soudain, elle ne fait pas de gros écart et veut savoir ce que c’est !

Je lai mise en cercle de chaque côté un peu mais je vais attendre le deuxième week avant de la relonger vraiment, car elle a quand même un peu tendance à se mettre en défense (pas aussi fort que l’autre fois !!).

Je l’ai lâché un peu en liberté après, pour son plaisir. La semaine prochaine on reverra tout ça avant de continuer plus loin, mais c’est bien car il y a des choses à apprendre (ensembles !) et des choses qu’elle apprend très vite !

La Cense, degré 1, 24 février 07 Partie 1

Samedi 24 Février

Enfin ce week tant attendu est arrivé ! Aucune déception, beaucoup de travail et de choses à retenir, le soir crevée mais quelle joie, et quelle ambiance dans ce groupe, c’était génial ! Arrivée dès 8h15 samedi matin, je commence par un café en attendant l’arrivée du reste du groupe. Déjà quelques personnes sont arrivées la veille et prennent leur petit-déjeuner (4 sont de degré 6).

C’est Pascaline qui va s’occuper de nous. Nous commençons par nous présenter un peu (et prendre du retard sur le programme ), puis un peu de théorie avant d’aller découvrir nos chevaux. Nous avons eu le choix, ils nous attendaient chacun dans leurs petits paddocks.

J’ai laissé les autres s’avancer (deux voulaient Cheyenne, sans doute à cause de son œil bleu ^^). Je me suis dirigée vers Choco qui déjà, en fait, nous observait. J’ai même dis à Pascaline (notre instructrice donc), « tu es sure qu’ils ne vont pas nous choisir ? »

Mais avant de les prendre nous irons dans le manège. Le cours commence, après la distribution du matériel, en apprenant à manier le stick. Il faut faire claquer la cordelette à un endroit bien précis au sol et des deux mains.

Ensuite nous le posons à terre, le bout de la cordelette en main, nous devons donc le lancer pour le rattraper par la poignée et de suite le claquer sur le mouchoir posé au sol ! Et bien amusez vous à le rattraper !!

Nous allons prendre nos chevaux. Choco est très intéressé par mes poches.

Dès son arrivée dans le manège il veut se rouler et quelle chance, Pascaline me dit que je peux le laisser faire ! Le tout est de bien le suivre le temps qu’il tourne et qu’il décide de se rouler !

ous réapprenons les règles de sécurité, en respectant les distances entre les chevaux en leur apprenant à reculer pour respecter notre espace personnel, nous apprenons à capter leur attention en avec le corps fixer le postérieur !

Le midi, nous les rentrons et vérifions leur eau, ajoutons du foin et partons manger tous ensemble, même Pascaline, après avoir été cherché Remus (un peu loin !) s’est assise avec nous. Nous avons été attablés avec le groupe de degré 6. Une bonne ambiance à table et Pascaline répondant partout ! La pauvre ! Deux jours de stage et trois jours de repos ! Christiane est la plus « vivante speed » mais elle est géniale ! Moins stressée avec nous qu’avec son jeune cheval, comme elle le dit.

L’après-midi une surprise ! Andy Booth est là et nous propose une démonstration d’une heure, pas plus pour ne pas couper le programme des stages ! Heuuu… 2h je crois ça a duré ! Il est bavard ! Il est plein d’humour et parfois son accent ressort bien !

Il devait prendre le sien mais apparemment avec Pascaline ils ont décidé de prendre celui de Christiane, un jeune cheval de 4 ans et qui n’avait donc commencé que le matin même ! Alors, elle, elle était folle de joie  de lui confier son cheval. Nous avons été vraiment impressionnés ! Là il était avec un cheval qui ne connaissait rien, et que lui ne connaissait pas ! Rien à voir avec les démonstrations habituelles !

Quand on le regarde, tout semble si simple !

Il parlait tout le temps, beaucoup à nous et parfois au cheval, il chantonnait aussi ou faisait des gros bruits bizarres !

Il lui a fait faire tout ce qu’on doit faire au degré 1, tête, flexion, désensibilisation à la main, au foulard (là il n’a pas insisté du côté droit par manque de temps), « sauter » dessus comme si on montait, marcher et trotter avec le cheval qui suit…

Ensuite il demande à Christiane si son cheval a déjà fait de la liberté en manège et s’il est facile à rattraper au pré (toujours à cause du temps…), comme elle lui répond oui, il enlève la longe !

Et le suit !! Au pas…Comme au trot ! Un moment le cheval a eu envi de galoper partout, il la laissé faire tout en le canalisant, il continuait à le suivre à distance, à lui montrer qu’il était toujours là et en lui mettant de la pression à distance (regard posé sur le postérieur du cheval, ou expression corporelle bien significative) ! Et là encore, le cheval est revenu près de lui assez rapidement et seul !!!

Puis il a recommencé ses exercices avec un de siens, en allant un peu plus loin vu que celui-ci connaissait ! Tous les exercices sans rien, à la main juste posée, à l’expression corporelle ! C’est vraiment bluffant ! Puis il nous a fait aussi une démonstration en étant monté, tout ce qu’on peut faire sans enrênement et même sans les mains… Ce qui est marrant c’est qu’il a les mains drôlement hautes au trot, mais les rênes longues aussi !

Arrêter, tourner… Même le reculons peut se faire qu’avec l’assiette et les jambes ! (sans licol !) On a bien fait de préférer voir Andy à une vidéo !!

De plus il est vraiment plein d’humour !! Et répond à toutes nos questions ! Il est même très bavard. Laurence, Michel et moi avons pu le constater le soir avant de repartir chez nous (à la fin de la première journée). Il nous expliquait aussi la différence entre plusieurs pays … La France étant vraiment mauvaise dans plusieurs domaines !! Mais le pire c’est pour la longévité des chevaux ! En France elle n’est qu’entre 8 et 15 ans ! Quand on sait que la moyenne ailleurs est de 25 ans !! Ça fait mal !

En fait on commence à publier des chiffres que depuis très peu de temps, quand on les découvre on se dit qu’il fait vraiment agir et réagir !!

Il nous a dit aussi pourquoi la séparation de Pat Parelli avec La Cense, cela vient aussi de la FFE (qui officieusement n’aurait pas souhaiter avoir d’américain….. !) Mais Andy est très heureux là, et au moins on commence à le connaitre !

Pascaline super sympa nous a fait plus d’une demi-heure de plus pour rattraper le temps et ne pas trop en perdre sur le programme ! On a apprit également à bouger les postérieurs et antérieurs, de près et à distance… Puis je suis rentrée à la maison… la tête pleine de rêve, fatiguée, et hâte d’être au lendemain !

La Cense, degré 1, 25 février 07. partie 2

Dimanche 25 février

On se retrouve tous au petit déjeuné, Pascaline nous y rejoint et nous donne le programme de la journée ! Ça ne débute pas très bien, elle se fait littéralement « jeté » par un jeune moniteur (qui semble bien malpoli et imbu de sa personne…) du manège, nous sommes donc obligé d’aller dans la carrière !

Christiane n’est pas rassurée ! Car forcément son cheval dans le chemin fait un peu le zouave !

On revoit les exercices appris le matin et on en ajoute quelques uns.

Un moment on se retrouve sous la pluie !! et avec les capuches on n’entend mal !!

Christine une monitrice d’abord classique et qui passe là un diplôme, vient en renfort ! Et vu l’espace, et le bruit elle n’est pas de trop ! Et puis grâce à elle j’ai pu me rendre compte que de ne pas réussir mes reculs à distance ne venait pas que de moi … Plus tard dans l’aprèm, Pascaline devra aussi « secouer » Choco et nous apprendra qu’il n’était en effet pas au niveau des autres, le dernier arrivé et ne sachant pas encore tout.

Vers 11h10, frigorifiés pour la plupart et un peu mouillés, nous pouvons regagner le manège ! Là nous pouvons commencer les exercices de désensibilisation,  et revoir encore le tout. Au repas nous reparlons un peu de théorie, et de beaucoup d’autres choses aussi. Les cavaliers du degré 6 nous expliquent leurs choix, plus souvent perso que professionnel. L’aprèm, nous repartons pour de nouveaux exercices, apprendre au cheval à marcher avec nous mais restant derrière, puis en étant à nos côtés. Cela paraît très simple et bien non ! Car si vous ne lui indiquez pas correctement le départ mais aussi la direction, il reste sur place !

Pour reculer pareil ! L’attitude doit être franche, claire et précise ! Et quand on parle d’énergie, pour moi ça été compliqué car il faut aussi oser montrer ! Et savoir vite se redécontracter ! Pour moi le plus difficile a été deux des manières de recul (les deux avec le stick en main^^). Et ce que j’ai préféré (à part l’attitude générale du cheval), c’est lorsque nous marchions côte à côte ! Pascaline nous a également expliqué l’approche au box ou paddock, en prenant Cheyenne comme exemple pas grand-chose à faire puisqu’elle était attentive de suite ! Puis en allant vers opium qui mangeait son foin, elle nous explique que le cheval peut ne pas vous trouver assez confortable et préfère continuer de manger, d’exercer alors le système j’avance retrait… Opium a été un bon exemple ! Il la regardait lors de la pression et retournai t à son foin…et ça un petit moment ! Alors quand à mon tour je m’approche du paddock de Choco, j’appelle Pascaline et en riant je lui dis : « Regarde ; moi, il vient de suite ! » Elle m’a tiré la langue ! 😀

Le dimanche pour 17h00 elle avait réussit à finir le programme, elle en été ravie !! On a fait un ptit débriefing puis Christiane a proposé un verre ! Pascaline nous a dit que c’était le premier stage où personne n’avait demandé : « A quelle peut on partir ? » ou l’heure de la fin !

Du coup, la maman de Intie (je suis incapable de savoir l’orthographe de ce prénom !) et Christiane, ont offert le champagne ! Puis ensemble, nous avons demandé à Pascaline de nous faire ensemble le second degré !

Nous voulions et être le même groupe, sans Claire qui n’est pas prête, et sans Marie-Odile qui a pleins de projets en cours et pour qui mars, avril ou mai faisait trop tôt ! (Marie-Odile et Vincent sont un couple qui vit en Belgique, et j’espère vraiment les revoir car ils sont vraiment d’une grande gentillesse et j’espère connaître leur progression avec sa jument Gazelle !). Pascaline qui, en général, ne fait que les degrés 1 et qui évite les week (pour les stages, pas pour le travail), a accepté de regarder les dates possibles !

En espérant que ce soit possible, et que nous restions que nous 5 (bon, sauf si ceux qui arrivent en plus sont vraiment sympa !!) pour apprendre ce deuxième degré ! Pour moi le week est prévu en mars mais on pourra changer la date !

Par contre ce doit être avant juin car l’examen est le 29 ! Au pire j’espère que si ce n’est pour le 2, on pourra pour la suite !

Ténébra en liberté

Ce matin, c’est le jour de liberté.

Je commence quand même par la brosser, lui curer les pieds et les bonjours en même temps bien sur !

Pour voir, un plot posé avec une barre dessus ; un autre plot déjà mit plus loin, avec un manteau de gamin dessus, l’attirait. Elle va toujours aussi voir les barres au sol et les chandeliers. Apparemment elle ne se roulera pas, donc on part au trot.

Dès le premier tour elle repère la barre légèrement surélevée, elle y va plusieurs fois, mais en même temps se rapproche du plot ! Jusqu’à arriver dessus ! Heureusement qu’elle n’était pas au galop et malgré ce que peut montrer la photo l’arrêt n’est pas si brutal.        

Par la suite je me mets plus vers le plot, de façon à ce qu’elle aille sur la piste ou en bout de barre.        

Mais la barre l’intéresse d’avantage que la piste !  Elle ira jusqu’à poser son pied sur le plot, repartira un peu sur la piste et sautera aussi très souvent ! Pas toujours facile de bien cadrer les photos! Nous ne verrons donc que la réception…  

Mais il semble que juste se mettre au trot et au galop en liberté ne lui suffise pas. Par la suite, je verrais s’il n’y a pas de simples exercices à faire aussi comme ça ! Une fois terminé, je l’appelle et pars vers la porte, elle met sa tête à hauteur de mon épaule et me suit au pas près. Je lui remets la longe pour sortir quand même !