Quel bien !

Ce matin j’ai enfin repris mes (bonnes ?) habitudes…

Je suis allée au haras toute la matinée, longer Ketchup (seule), sortir en liberté et faire sauter les chevaux et les poneys, en compagnie de Christine…

Déjà jeudi matin après le cours je suis restée jusqu’à 14h00… Après avoir nourrit les chevaux, j’ai accompagné Julien (cavalier soigneur –j’ai appris le nom exact de son « métier »-) le temps qu’il travaille le dernier cheval.

Nous avons pas mal discuté sur le milieu du cheval et comment, lui, il en était arrivé à ce métier.

Il m’expliquait surtout tous les côtés galères et les moyens financiers nécessaires dans ce domaine !

On en parlait surtout par rapport à mon fils, qui désire faire un métier ou il s’occupera des chevaux ; garde républicain est sa première idée…

Mais il est vrai qu’il envisageait aussi d’avoir son haras… mais là financièrement …..

Je lui expliquais dernièrement, qu’en fait, avoir un bon métier et pouvoir avoir son cheval était aussi très bien !

Enfin il n’a que 11 ans, il a encore le temps de voir ce qu’il veut faire réellement, et ce qu’il pourra aussi…

La Tendresse

La Tendresse

La tendresse pourrait être un Regard               

Qu’il soit de vingt ou de quatre vingt ans

Il pourrait garder cette étincelle

Brillant dans les yeux de l’autre

Un moment ou nous nous perdons

Dans un regard d’amour ou de tendresse    

La tendresse pourrait être un Geste               

Qu’il soit donné à vingt ou à quatre vingt ans

Il pourrait continuer un frôlement timide

Par une douce caresse

Rassurer ou découvrir l’autre

Avec un geste d’amour ou de tendresse    

La tendresse pourrait être un Mot

Qu’il soit dit à vingt ou à quatre vingt ans

Il doit pouvoir être entendu

À n’importe quel moment, n’importe quel endroit

Il pourrait être caché derrière tant de mots différents

Derrière un mot d’amour ou de tendresse    

La tendresse devrait être le Bonheur

Qu’il soit à vingt ou à quatre vingt ans

Il est en chacun de nous, parfois tapis

Il devrait puiser sa force chaque jour

Dans le regard, par un geste, par un mot

Par l’amour ou la tendresse de l’autre.

Se découvrir… oui mais…

Facile de dire « se découvrir » mais enfin de compte les choses les plus blessantes, les doutes les plus douloureux, les angoisses, le mal être… rien n’est dit… à peine parfois suggéré, pour faire comprendre à l’autre… à celui qui regarde, celui qui lit , celui qui y prêtera de l’attention…

Ne reste visible que la passion, les petites humeurs, le bien être… mais qu’en est il vraiment ?

Se découvrir…

Comme les mots, les larmes se cachent, se retiennent. 
Pourtant aujourd’hui elles bousculent, 
Elles ont envie de jaillir, de crier… 
En roulant, en partant, 
Elles emmèneraient tous ces doutes, 
Elles emmèneraient tout ce mal, 
Toutes ces pensées, ces questions…  
Comme les mots, les larmes se cachent, se retiennent. 
Pourtant aujourd’hui elles sont trop nombreuses, 
Elles auraient tant à dire… 
En coulant doucement ou en flots, 
Elles feraient disparaître 
Pour un temps peut être 
Toute cette tristesse intérieure…   

Alors pourquoi encore aujourd’hui, 
Comme les mots, les larmes se cacheront, se retiendront. 
Pourquoi encore aujourd’hui, 
Elles ne rouleront pas vers l’extérieur 
Pour ne pas être visibles. 
Elles iront s’enfouir au plus profond de l’être, 
Encore aujourd’hui et peut être demain…    

Si tout cela pouvait finir…

Une journée et le haras :)

Décidément lorsque les pieds sont « posés » au Haras, on n’en sort plus

J’avais  … heu … fermement (mais si ! ) décidé de n’y aller que le matin.

Tout démarre plutôt en douceur, je cause beaucoup avec fanny et je la suis plus que ne l’aide (ça je n’aime pas ).

Puis le véto arrive ainsi que des instructions… du coup là je suis seule à devoir faire certaines choses!

CA J’AIME ! , surtout les taches demandées ^^.

Aider Yohann en changeant quelques chevaux de boxe pour lui permettre de curer, puis rentrer les 6 doubles et tous les shetlands !

Sortir 1 cheval et en rentrer un autre.

Faire marcher pendant 15 mns, le poney Capt’ain qui boitait… trottiner même avec lui pour montrer à Roselyne s’il allait mieux…

Puis chacun déjeune… après avoir nourri les chevaux, bien sur!

Du coup sachant ce que Fanny avait encore à faire, et à sa demande  je reviens l’aprèm pour 13h45.

Et là encore génial, sortir et rentrer les chevaux, et en mettre 4 à tour de rôle en liberté.

Ce qu’on appelle le mettre en, liberté, c’est l’amener avec un licol jusqu’au manège (le grand), le lâcher et le faire trotter et galoper (parfois sauter).

Ou il faut faire attention c’est au lâché, car il peut se mettre à ruer et partir de travers…

Enfin voilà, rentrée pour repartir presque aussitôt pour l’école, puis douches des petits puis GYM !

J’ai dû me donner! (comme à chaque fois en fait ^^ ) ou alors c’est ajouté à la journée… mais là je me demande si je dois prendre de l’aspirine ou pas !

Surtout quand je pense que jeudi matin je remonte et que c’est donc 48h00 après le sport, et souvent ce qui correspond à la venue des courbatures !

Enfin une journée bien en « forme »….