Genga en extérieur

Première sortie de Genga ! On a osé et quel plaisir !!

En plus la pauvre dès le départ, à la sortie du pré, on tombe sur une mamie qui arrive en 4*4 très vite ! Patrick, devant avec Redza, lui fait signe gentiment de ralentir… elle répond d’un geste violent en marmonnant : « je m’en fous ! » et tout juste, si elle n’accélère pas ! Ma Genga , là, n’a bougé que l’arrière train !

Ensuite, je savais que le test allait allez très vite, car dès l’entrée du chemin, il y a des choses dérangeantes… des plaques d’égouts, des grillages avec des bornes d’eau, des changements de sol… et une machine rouillée qui traîne au bord du champ. Elle est comme Ténébra, elle a les oreilles en alerte, l’encolure droite, et elle est très curieuse ! Dès le départ elle a voulu être devant, elle regardait partout dans les champs, mais sans stress, juste aux aguets, pas d’écart et comme Ténébra, elle va aller mettre le nez dessus. Nous avons pas mal trotté, pour ses pieds, j’ai préféré ne pas galoper et nous avons évité les routes. Mais en même temps, elle marchait sur toutes les surfaces sans broncher, y compris sur le goudron ! Devant la cabane ou Redza commençait à reculer légèrement, elle est passée, un peu vite mais sans écart… La plus grosse frayeur qu’elle a eu, mais où je pense avoir eu aussi peur qu’elle sur le coup, dans un chemin, que j’ai pourtant souvent pris seule, trois chiens sont arrivés derrière nous en aboyant… elle a fait un bond, elle a essayé de partir, et presqu’en tremblait ! Très rapidement je l’ai caressée et je lui parlais tout en la maintenant au pas. Les chiens se sont tus un instant et sont repassés devant en ré aboyant… là, elle a juste tressauté puis continué tranquille au pas… Patrick m’a regardé faire, je crois qu’il a eu plus peur que moi…

Puis, – alors là il m’a fait plaisir !- il me dit qu’elle est vraiment bien, qu’on voit qu’elle est en confiance totale et que j’ai vraiment fais du bon travail !que c’était une jument vraiment difficile et, là, il était vraiment agréablement surprit, que la jument devait m’apprécier autant que moi je l’apprécie !

Et quand je lui disais que j’étais contente (moi je ne parlais que pour la jument ^^) il me répondait que j’avais de quoi l’être ! Le bonheur quoi !

Du coup il va reprendre contact avec l’ancienne propriétaire et voir si elle ne me la céderait pas à prix raisonnable, car je lui ai dis que c’est une jument que j’aimerais avoir à moi…

Nous sommes allés chez Sophie, nous sommes entrés dans son jardin. Là, devant son portail il y a une ligne de petites grilles, à l’aller Redza, étant devant, a eu un peu de mal à passer… Genga  n’a fait que suivre et n’a rien du voir… Mais au retour, je suis passée devant, là exercice pur, on a fini par passer mais vite… si j’avais été seule, je lui aurais refais passer… mais là, Patrick stressait (si, si, je l’entendais me dire, « doucement surtout, tu ne veux pas que je passe devant ? »), donc nous avons continué pour rentrer tranquillement.

Chez Sophie, Ténébra a fait du nez à nez avec Vesta, la chienne. Même Genga  la regardait les oreilles droites en avant…

Cet aprèm, j’appelle la Cense voir s’ils ont des adresses de maréchaux-ferrant adaptés. Thomas va très bien pour Ténébra mais, pour Redza et Genga , il ne sera pas assez patient… il n’aime pas les chevaux peureux… ou à problème…

Voilà pour aujourd’hui…

Genga : la bâche, jour 2 !

On réinstalle la bâche, je la tiens en licol tout près en avançant. Elle reste méfiante.

Je la pose et je nous en éloigne pour travailler un peu.

En fin d’exercices, je reviens sur la bâche. Comme d’habitude Ténébra a déjà le nez dessus !

Je reste à ses côtés le temps de lui montrer et j’attends qu’elle y pose un pied ! Ca va beaucoup plus vite qu’hier !

Ensuite elle passe à mes côtés ses 4 pieds et au pas. Je la mets en cercle pour la faire passer dessus, à main gauche elle y passe dès le premier tour. A main droite, elle évite la bâche au premier, passe les pieds avants mais saute de l’arrière, et au troisième passe au pas dessus !

On arrête là pour aujourd’hui et je la prépare pour la monter ! Là, pareil, de gros progrès sont visibles, surtout à main droite ! On arrive à garder plus longtemps un petit trot, et j’ai même galopé sans étriers. Pas un seul coup de cul, même quand je l’obligeais à s’arrêter ou à rester quelques secondes immobile à l’arrêt.

Elle devient très câline aussi !

Aujourd’hui j’ai proposé à Marie de sortir avec Ténébra… c’est quand même agréable après le travail !

J’ai hâte que Genga puisse voir le maréchal et qu’on tente une sortie !

Genga : la bâche, jour 1. Ténébra : extérieur

On a travaillé longtemps et durement, j’ai donc voulu la laisser tranquille après, et ne pas la monter…

Nous avons retravaillé avec la bâche… c’est la première fois que je vois autant de crainte et de résistance face à cette bâche ! J’ai même du travailler autrement pour qu’elle finisse par la sentir et poser rapidement un pied dessus. Je n’ai pas demandé plus aujourd’hui, car, rien que pour ces deux gestes, il a fallu au moins 20 mn !

J’ai commencé par faire exactement comme on a apprit, en la travaillant loin et lui proposant le repos à côté de la bâche… mais même déjà simplement s’approcher de la bâche, il a fallu 10 bonnes mn !!

Jusqu’à présent, les chevaux que j’avais vus face à cet exercice, allaient au moins poser leur nez dessus ! Là, elle n’a posé son pied qu’une fois que j’étais dessus moi-même, une première fois…

(Même Ténébra lui montre 🙂 )

Enfin j’ai obtenu peu, mais ce que j’avais décidé et, qu’elle en est moins peur pour demain… Par contre Marie n’étant pas venue pour monter, j’ai travaillé Ténébra. Et bien on voit que je ne l’ai pas montée depuis un moment !! Enfin elle se remet vite ! On est sorti de nouveau, et là… aie, aie, aie !!!

Ils ont eu la bonne idée de mettre des remorques énormes, – de couleur et bâchées !!- sur le côté du chemin au bord du champ ! La première, on a bien eu du mal à la passer ! J’ai du prendre mon temps… la deuxième, on la passée au trot, elle mettait un peu de côté mais, là, elle n’a pas reculé ! Du coup, comme ces remorques étaient en plus sur le chemin du galop, on a beaucoup trotté mais pas galopé.

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